Lettre à vous
Chers lecteurs,
cette lettre s'adresse à vous.
C'est une lettre d'Adieu.
Avec un grand A car celui là est réel.
Je n'ai pas envie de m'épancher parce que je ne sais pas quoi dire.
L'inspiration n'est plus là et ce blog me pèse plus qu'autre chose.
J'aurai préféré qu'elle vienne au moins pour ces adieux car je les trouve assez fades. Ca doit être en rapport avec la couleur du ciel, peut-être. Ou la couleur de mon coeur en ce moment. Je ne sais pas trop.
Je vais alors simplement tous vous remercier d'être passé par là et d'avoir laissé vos avis de temps à autre.
Partir ne veut pas dire ne plus vous revoir alors je pense passer à nouveau chez vous.
Pour ceux qui connaissent mon "vrai" blog, j'espère vivement vous retrouvez là-bas.
Je tiens à également à vous dire chacun un petit mot car vous êtes tous uniques et un adieu ne peut pas se faire en groupe, à mon avis.
- Je vais d'abord dire merci à Pépita sans qui ce blog n'aurait jamais vu le jour.
Je continuerai forcément à venir te voir, partout où ta plume se laisse aller :-)
- Je dirai également merci à Sylvain.
Merci pour tes encouragements qui m'ont aidé à continuer à écrire. J'espère te lire très prochainement et je ne manquerai pas de te laisser mes impressions sur ton blog.
Et qui sait, peut-être après avoir lu ton livre j'aurai à nouveau envie d'écrire ?
- Merci à toi Sérénité de t'être ouverte à moi et de te montrer présente alors que tu es si loin et qu'on se connaît si peu.
Je ne te l'ai jamais dit mais pour moi, le Québec c'est un pays merveilleux.
Le Québec, c'est mon compte de fée, ma forêt émerveillée, mon miroir magique. Pour des tas de raison. Peu importe lesquelles.
Toujours est-il que depuis quelques années, je suis amoureuse du Québec et des québecois, de votre accent et de vos expressions à s'envoler par dessus nos frontières!
- Edith, je crois que je vais continuer à venir te voir régulièrement. Je veux continuer de saliver devant les histoires de Salma.
J'adore les histoires de grand-mère. Ma dernière grand-mère vient de mourir. C'est pour ça que j'avais commencé à écrire un roman sur mes grands-mères.
Je n'ai plus de grands-parents et j'ai toujours rêvé d'avoir une grand-mère comme tu les décris si bien.
En plus, une de mes meilleures amies s'appelle Salma et voir ce nom sur un personnage me fait toujours sourire.
- Michel, j'aimerais pouvoir écrire des poèmes comme tu le fais. Les sujets sont vastes et tes rimes m'emportent toujours loin.
Je ne les ai pas tous lu. Je ne viens peut-être pas régulièrement. Ils ne me touchent pas tous autant les uns que les autres mais je prends plaisir à te lire.
- Constance, notre rencontre bloggesque est très récente. Trop peut-être pour se dire Adieu. Je parais mélodramatique là mais finalement, vous parler à vous tous me donne l'inspiration qui me manquait au début de cette lettre.
Alors je ne te dirai que : continues ainsi car j'aime beaucoup ce que tu écris !
- Rem, je ne t'oublie pas. Je viens peu souvent te voir pour les mêmes raisons que j'arrête ce blog. Continue à écrire, fais en sorte d'être lu.
Ecrire est un secret qui mérite tant d'être dévoilé.
Enfin, last but certainly not least, Enigmus.
Que te dire à toi ?
Je pourrai te dire tellement de choses quand il s'agit de t'écrire!
C'est toi qui lui a redonné la vie quand la flamme commençait déjà à s'éteindre.
Tu fus alors la muse de ce blog pendant quelques jours.
Quelques jours c'est peu mais ce fut intense et ça m'a fait l'effet d'avoir un nénuphar dans les poumons.
Surtout, écris, encore et encore. Dédicace moi ton livre quand tu seras publié ;-)
Et dans tous les cas, pour toi, très cher Enigmus, ce n'est pas un Adieu. Je voudrais pas faire de jaloux mais je n'ai pas besoin de t'expliquer le pourquoi de la chose.
Un grand merci à tous d'être passé par là.
Ca fait tout drôle, j'ai l'impression de me retirer de la scène. Une petite pièce en 3 actes dont je fus l'actrice principale, pièce que j'ai trop jouée et c'est pour cela que j'ai envie de la quitter.
Et pourtant, elle fut partie intégrante de ma vie pendant quelques temps et quitter son décor et ses spectateurs me fend le coeur.
Mais ce n'est que pour aller vivre la vraie vie, et pas une pièce de théâtre.
Je vous embrasse tous.
A bientôt, ici ou ailleurs.
Sarah.
cette lettre s'adresse à vous.
C'est une lettre d'Adieu.
Avec un grand A car celui là est réel.
Je n'ai pas envie de m'épancher parce que je ne sais pas quoi dire.
L'inspiration n'est plus là et ce blog me pèse plus qu'autre chose.
J'aurai préféré qu'elle vienne au moins pour ces adieux car je les trouve assez fades. Ca doit être en rapport avec la couleur du ciel, peut-être. Ou la couleur de mon coeur en ce moment. Je ne sais pas trop.
Je vais alors simplement tous vous remercier d'être passé par là et d'avoir laissé vos avis de temps à autre.
Partir ne veut pas dire ne plus vous revoir alors je pense passer à nouveau chez vous.
Pour ceux qui connaissent mon "vrai" blog, j'espère vivement vous retrouvez là-bas.
Je tiens à également à vous dire chacun un petit mot car vous êtes tous uniques et un adieu ne peut pas se faire en groupe, à mon avis.
- Je vais d'abord dire merci à Pépita sans qui ce blog n'aurait jamais vu le jour.
Je continuerai forcément à venir te voir, partout où ta plume se laisse aller :-)
- Je dirai également merci à Sylvain.
Merci pour tes encouragements qui m'ont aidé à continuer à écrire. J'espère te lire très prochainement et je ne manquerai pas de te laisser mes impressions sur ton blog.
Et qui sait, peut-être après avoir lu ton livre j'aurai à nouveau envie d'écrire ?
- Merci à toi Sérénité de t'être ouverte à moi et de te montrer présente alors que tu es si loin et qu'on se connaît si peu.
Je ne te l'ai jamais dit mais pour moi, le Québec c'est un pays merveilleux.
Le Québec, c'est mon compte de fée, ma forêt émerveillée, mon miroir magique. Pour des tas de raison. Peu importe lesquelles.
Toujours est-il que depuis quelques années, je suis amoureuse du Québec et des québecois, de votre accent et de vos expressions à s'envoler par dessus nos frontières!
- Edith, je crois que je vais continuer à venir te voir régulièrement. Je veux continuer de saliver devant les histoires de Salma.
J'adore les histoires de grand-mère. Ma dernière grand-mère vient de mourir. C'est pour ça que j'avais commencé à écrire un roman sur mes grands-mères.
Je n'ai plus de grands-parents et j'ai toujours rêvé d'avoir une grand-mère comme tu les décris si bien.
En plus, une de mes meilleures amies s'appelle Salma et voir ce nom sur un personnage me fait toujours sourire.
- Michel, j'aimerais pouvoir écrire des poèmes comme tu le fais. Les sujets sont vastes et tes rimes m'emportent toujours loin.
Je ne les ai pas tous lu. Je ne viens peut-être pas régulièrement. Ils ne me touchent pas tous autant les uns que les autres mais je prends plaisir à te lire.
- Constance, notre rencontre bloggesque est très récente. Trop peut-être pour se dire Adieu. Je parais mélodramatique là mais finalement, vous parler à vous tous me donne l'inspiration qui me manquait au début de cette lettre.
Alors je ne te dirai que : continues ainsi car j'aime beaucoup ce que tu écris !
- Rem, je ne t'oublie pas. Je viens peu souvent te voir pour les mêmes raisons que j'arrête ce blog. Continue à écrire, fais en sorte d'être lu.
Ecrire est un secret qui mérite tant d'être dévoilé.
Enfin, last but certainly not least, Enigmus.
Que te dire à toi ?
Je pourrai te dire tellement de choses quand il s'agit de t'écrire!
C'est toi qui lui a redonné la vie quand la flamme commençait déjà à s'éteindre.
Tu fus alors la muse de ce blog pendant quelques jours.
Quelques jours c'est peu mais ce fut intense et ça m'a fait l'effet d'avoir un nénuphar dans les poumons.
Surtout, écris, encore et encore. Dédicace moi ton livre quand tu seras publié ;-)
Et dans tous les cas, pour toi, très cher Enigmus, ce n'est pas un Adieu. Je voudrais pas faire de jaloux mais je n'ai pas besoin de t'expliquer le pourquoi de la chose.
Un grand merci à tous d'être passé par là.
Ca fait tout drôle, j'ai l'impression de me retirer de la scène. Une petite pièce en 3 actes dont je fus l'actrice principale, pièce que j'ai trop jouée et c'est pour cela que j'ai envie de la quitter.
Et pourtant, elle fut partie intégrante de ma vie pendant quelques temps et quitter son décor et ses spectateurs me fend le coeur.
Mais ce n'est que pour aller vivre la vraie vie, et pas une pièce de théâtre.
Je vous embrasse tous.
A bientôt, ici ou ailleurs.
Sarah.